En entérinant la création des cursus PASS et LAS en remplacement de la PACES, la réforme de 2020 consolide un principe pourtant déjà bien ancré : pour accéder aux études de santé, les candidats devront triompher d’une immense concurrence. Or, il existe des moyens efficaces de se démarquer face à la sélection nationale ! Pour avoir le privilège d’entrer dans la filière MMOPK de son choix, aucun ne devra être laissé sur le côté.
Les classes préparatoires aux filières MMOPK : des indispensables en 2025 ?
Premier moyen de laisser les rivaux dans le rétroviseur, s’appuyer au maximum sur les formations complémentaires de référence qui sont organisées dans votre région.
Vous envisagez d’entrer en PASS ou en LAS à l’université de Franche-Comté ? Intégrer en parallèle une Prépa Médecine à Besançon auprès d’un institut comme Bersot Formation est fort conseillé. Encore mieux, l’année préparatoire P0 est une opportunité unique. En accomplissant une année de césure, les étudiants mettent ce temps à profit pour se démarquer face à la sélection nationale.
Afin de ne laisser aucun angle mort dans leurs apprentissages, les écoles comme Bersot Formation permettent aux candidats de profiter de ressources variées :
- De nombreuses heures sont dédiées à la précision des notions abordées en cours de chimie et de biochimie, de mathématiques, de biophysique ou d’anatomie ;
- L’apprentissage de la méthodologie n’est pas en reste : les évaluations et les concours blancs sont autant d’opportunités offertes aux étudiants de s’évaluer et d’ajuster leurs stratégies en prévision des épreuves écrites ou orales ;
- Un suivi individualisé est réalisé par un parrain et par les membres de l’équipe pédagogique : vous conservez votre motivation tout au long de l’année en profitant de leur expérience.
Au regard des avantages décisifs qu’elles procurent, difficile de passer outre ces classes préparatoires.
Ne pas se replier sur soi-même : la règle d’or pour se démarquer en PASS et en LAS !
Pour préparer au mieux les concours PASS et LAS, les étudiants devront absolument compter sur le pouvoir de l’émulation. Hors de question de travailler seul !
- Le travail de groupe permet de partager les efforts de recherche et oblige à formaliser ce que l’on pense savoir : il accélère les apprentissages et permet de gommer rapidement les difficultés ;
- Il est aussi un important moteur de motivation, puisqu’il crée un engagement envers les autres et envers soi-même ;
- Il évite un facteur d’échec important chez les étudiants en santé : l’isolement.
Dès le début de l’année, il vous faudra tout mettre en œuvre pour recruter les étudiants qui vous paraîtront les plus sérieux.
Une bonne qualité de vie : un facteur décisif pour surmonter la sélection nationale
Pour vous démarquer face à la sélection nationale, ne négligez pas non plus votre cadre de vie.
- Aménagez votre emploi du temps de manière intelligente : travailler beaucoup ne signifie pas travailler tout le temps ! Soyez régulier et rigoureux, mais accordez-vous aussi des pauses régulières pour recharger les batteries ;
- Méfiez-vous de la vie étudiante « mainstream » : gardez à l’esprit que vous avez un concours à préparer. En d’autres termes, vous n’êtes pas logé à la même enseigne que les étudiants de la plupart des autres filières. Une donnée qui sera souvent oubliée par nombre de vos concurrents.
Enfin, consacrez une ou deux heures par semaine à une activité physique. Cela contribuera à vous relaxer tout en travaillant votre mémoire. Votre corps sera plus reposé, et vous dormirez mieux !